traversÉe dolpo-mustang
Dolpo-Mustang, le Tibet originel – Nouvel itinéraire
LES POINTS FORTS DE LA TRAVERSÉE
- Une acclimatation au lac Phoksundo pour préparer votre voyage en altitude
- Les couleurs incroyables et changeantes du lac Phoksundo
- Deux nouveaux chemins qui évitent les pistes entre Saldang et Dho et entre Dho et Sangda
- Vue sur les faces nord des Dhaulagiri
- Le monastère de Shey gompa, perché dans les falaises
- Les horizons sur le plateau tibétain depuis les cols
- Les caravanes de yaks et la culture toujours profondément tibétaine
Notre enthousiasme pour la traversée Dolpo Mustang
S’engager dans cette grande traversée Dolpo au Mustang, c’est avant tout partir pour une aventure humaine. C’est un engagement, car il faut deux vols domestiques pour rejoindre le Dolpo. Puis deux autres jours pour quitter le Mustang. Mais surtout une fois l’acclimatation au lac Phoksundo vous cheminez vers le premier col du Kang La à plus de 5000m ; le voyage en altitude peut commencer.
Comme dans le film « Himalaya l’enfance d’un chef » d’Eric Valli, les caravanes de yaks sont toujours le moyen de transport utilisé pour commercer et pour cultiver. Vous verrez en chemin, les Drokpas, (nomades en tibétain) qui reviennent des alpages, les yaks chargés de toute la vie d’estive. Des rencontres hors du temps dans les paysages minéraux.
Cette grande traversée du Dolpo laisse aussi le temps de comprendre le paysage, de le lire. Votre marche alterne entre Himalaya et plateau tibétain. Au pied du Kang La, les crêtes nord enneigées du Kanjiroba prennent les premiers rayons du soleil. Plus loin, vous vous préparez à basculer vers la vallée de Shey Gompa, au cœur des montagnes plus douces du plateau tibétain.
En sens inverse, le passage du Jeng La vous fait revenir au cœur des hauts massifs dans la vallée de Dho Tarap. Les traversées du Pang La et du Lungpa La renouvellent cette alternance. La traversée du Dolpo au Mustang vous fera osciller de paysages arides Dolpo Pa à ceux de l’Himalaya et ses hauts sommets. A cheval entre deux mondes, très haut et très loin, le temps ne compte plus vraiment.
Pour revenir, parce qu’il le faut, le sentier plonge derrière le Lungpa La (5500m) dans la vallée de Sangda. Deux journées plus tard, le panorama qui précède la descente sur Jomsom donne à nouveau cette impression d’être entre deux univers. Le regard porte loin au nord sur tout le Mustang, jusqu’au Tibet. Quant au sud, c’est l’ensemble du massif des Annapurna qui pointant vers le ciel, occupe l’horizon…
ITINÉRAIRE DE VOTRE TRAVERSÉE DOLPO MUSTANG
Jour 1. Départ de France pour le Népal
Jour 2. Arrivée à Kathmandu et transfert à l’hôtel
Vous arrivez à Kathmandu, la capitale au nom évocateur que tout voyageur souhaite un jour voir. Nous vous accueillons à l’aéroport et vous conduisons à votre hôtel. Nous faisons le briefing pour les formalités et les détails de l’itinéraire du Dolpo Mustang.
Jour 3. Vol Kathmandu à Nepalgunj, départ de la traversée Dolpo Mustang
Nous prenons dans la journée notre premier vol pendant qu’une partie de l’équipe se rend par voie terrestre à Nepalgunj avec du matériel. Nepalgunj est une ville loin des images que l’on peut avoir du Népal, à commencer par le relief inexistant. L’influence indienne est importante, les femmes sont souvent en habit traditionnel, couleurs vives et bijoux aux chevilles. Dans la campagne environnante, c’est un autre rythme qu’à Kathmandu. D’ailleurs, les bicyclettes de style anglais donnent le tempo. Et vous ne résisterez pas à quelques clichés de cyclistes élégantes, dos droits sur ces vélos.
Jour 4. Vol de Nepalgunj à Juphal (2470m) puis marche jusqu’à Rupgad (2060m)
Les conditions météos déterminent le vol, en cas de mauvais temps, nous visitons la ville de Nepalgunj et les villages environnants.
Cette fois, c’est parti pour la grande traversée du Haut Dolpo au Mustang. Juphal, accrochée sur un versant nord est entourée de champs en terrasse et un peu plus haut, de forêt. Un peu plus bas, en chemin pour Rupgad, vous traversez des villages Thakuri, caste hindoue. Sur les toits plats des maisons, des statuettes sculptées rappellent que l’animisme est toujours présent dans ces régions ouest du Népal. C’est aussi une vraie activité que l’on peut observer sur les toits plats, séchage des dernières récoltes et lieu de vie, pour discuter ou prendre le soleil. Pour y monter, des échelles sculptées dans des troncs. Vous gagnez ainsi les rives de la Thuli Khola.
Marche : 2 heures, +70m/-480m
Jour 5. Rupgad à Chepka (2680m)
La vallée se divise ici et vous obliquez vers le nord pour remonter le long de la rivière qui vient du lac Phoksundo. Un long pont suspendu vous permet de passer rive droite de la Thuli, puis un second pont pour traverser la Suli Khola.
Contrairement aux idées que l’on se fait du Dolpo, les paysages sont verdoyants, tout simplement, parce que vous êtes encore au bas Dolpo et surtout parce que la mousson a donné vie à toutes ces pentes. Les eaux d’un turquoise clair de la Suli vous donnent un avant-gout du lac Phoksundo, contraste saisissant entre le vert du torrent et celui des rizières, des conifères. Il y pousse d’ailleurs aussi beaucoup de ganja, comme une mauvaise herbe qui est peu utilisée par les locaux. Vous passez les premiers ponts de bois, ambiance.
Marche : 6 heures, +820m/-200m
Jour 6. Chepka à Palang (3150m)
Au fond de la vallée, la lumière est éblouissante quand elle atteint une rive et les passages ombre et lumière se succèdent au rythme de vos traversées du torrent sur les ponts de bois. Sur, certains vous pouvez retrouver les sculptures animistes, parfois un couple encadre ainsi l’entrée d’un pont. Et toujours les eaux captivantes d’un turquoise limpide.
Marche : 6 heures, +800m/-330m
Jour 7. Palang à Ringmo, rive du lac Phoksundo (3670m)
Une journée peu exigeante, mais par un sentier raide, vous montez assez rapidement après le camp pour un petit col qui offre la première vu sur le lac Phoksundo. La couleur du lac parait surréaliste. Une belle marche vous amène au village de Ringmo. Légèrement en retrait de la rive sud du lac Phoksundo, le village de Ringmo est le dernier avant de vous engager dans le haut Dolpo. Les maisons sont essaimées au milieu des champs, quelques stupas qu’on croirait sortis de Tintin au Tibet entourent le village.
Marche : 4 heures, +700m/-180m
Jour 8. Journée d’acclimatation autour du lac Phoksundo
Jour 9. Ringmo au camp du lac Phoksundo (3730m)
Tout au long de la journée selon son exposition, le lac Phoksundo prend des couleurs captivantes ; turquoise, émeraude par endroit. Cette journée est idéale pour profiter de toutes les lumières sur le lac ainsi que visiter le village et le monastère de Ringmo ou la tradition de Bön, religion préexistante au bouddhisme, est toujours pratiquée en même temps que le bouddhisme. Les falaises qui tombent dans le lac sont aussi impressionnantes. Le lac s’est formé suite à l’effondrement d’une partie de la montagne, mais selon une légende, il en serait autrement… voir sur la page du lac Phoksundo.
Marche : 6 heures, +750m/-690m
Jour 10. Camp du lac Phoksundo à Kang La Phedi (4650m)
Cette journée relativement courte est votre véritable montée en altitude. C’est par une gorge étroite que vous rejoignez le camp de base du Kang La, premier col de la traversée Dolpo-Mustang. Il faut traverser plusieurs fois le torrent au milieu des blocs, selon le niveau de l’eau certains passages nécessitent d’enlever les chaussures, les sandales sont de rigueur. Dans votre dos, les faces Est du Kanjiroba, une longue crête à plus de 6000m. Cette fois, vous quittez la végétation et basculez dans un environnement minérale que vous ne quitterez qu’à l’arrivée dans la kali gandaki. La lenteur de votre marche conditionne votre acclimatation et la qualité de la nuit que vous passerez, alors ; « bistaré inus » (marchez lentement)…
Marche : 5 heures, +960m/-40m
Jour 11. Kang La Phedi à Shey Gompa (4350m)
Vous franchissez aujourd’hui votre premier col à plus de 5000m d’une bonne série, la lenteur de votre progression est d’autant plus importante. Au petit matin, le lever de soleil vous réserve déjà une belle surprise, le Kanjiroba est en feu, les flutes qui descendent à son glacier s’enflamment puis rapidement renvoient une lumière éblouissante au cours de votre progression de la première pente raide. Les plies de roche sont déroutants et régaleront les géologues, les affleurements sont ici nombreux.
Le Kang La culmine à environ 5360m et découvre sur cette partie du Dolpo le début du plateau tibétain. La traversée de ce col est un moment fort du trek, car vous basculez de la partie Himalayenne au plateau tibétain. Dans votre dos, les crêtes effilées du Kanjiroba, devant un horizon de sommets arrondis tibétain. C’est une des particularités de ce grand trek Himalayen, vous alternerez entre Népal et Tibet, Himalaya et plateau tibétain.
La descente est longue à travers une vallée ouverte et à l’arrivée à Shey Gompa, le sentiment d’être à une des extrémités du monde. Sur votre gauche, la montagne de cristal domine un peu plus haut.
Marche : 6 heures, +740m/-1040m
Jour 12. Acclimatation à Shey Gompa et monastère de Tsakang
Le monastère de Shey Gompa surplombe la confluence (Samdo en tibétain) de deux rivières. Celle arrivant du Kang La que vous avez longez hier et celle que vous longerez demain en direction de Saldang. La quantité de murs à mani, murs aux pierres sculptées de prières est impressionnante. Le monastère en est entouré. Les montagnes aux couleurs douces, le chorten sud du monastère aux airs de « Tintin au Tibet », sur les vallons opposés les yaks qui paissent, vous êtes au cœur du Haut Dolpo, isolé.
Le monastère de Tsakang est assez proche, une heure et demie est suffisante pour vous y rendre. Accroché à la montagne il impressionne autant par sa situation que le bâtiment lui-même. En balcon dans la falaise qui domine la gorge, le monastère est actuellement seulement occupé par un ermite et le lama reste à Shey Gompa. De Tsakang, le regard porte sur les sommets et la rivière qui se perd dans une gorge profonde. A cette altitude, le monastère en nid d’aigle donne à coup sûr le recul nécessaire pour atteindre un état méditatif.
La saison d’estive touche à sa fin au Dolpo et les derniers campements ne tarderont pas être démontés pour rejoindre Saldang. Les bharals sont nombreux dans cette région et vous devriez en observer.
Marche : 4 heures, +400m/-400m
Jour 13. Shey Gompa à Tora (environ 4100m)
Vous quittez Shey, un des plus beau lieux de la traversée Dolpo Mustang. Le sentier en lacet nous conduit à un col relativement bas, sous les 5000m, au milieu de ces collines pastorales où le yak est maître.
Marche : 7 heures, +1350m/-1100m
Jour 14. Tora à Bhijer et Nengla Phedi (environ 4200m)
Au-dessus de Tora, le sentier monte à un col à un peu plus de 4400m et nous descendons au village de Bhijer, éloigné de tout. Les maisons ressemblent à de petites forteresses surmontées de terrasses, une architecture particulière.
Vous quittez la vallée de Bhijer pour reprendre la vallée qui mène à Saldang.
Marche : 6 heures, environ +500m/-600m
Jour 15. Nengla Phedi à Saldang (3860m)
Vous partez pour un nouveau col à 5000, une montée régulière qui devient plus raide à la fin avant d’atteindre les 5380m du Nengla La. La vue se dégage progressivement à la descente sur les falaises qui oscillent entre le gris, jaune et légèrement ocre. Nous descendons sur le gros village de Saldang, un village étalé sur l’ensemble des pentes qui descendent à la rivière.
Marche : 7 heures, +1280m/-1620m
Jours 16 à 19. Saldang à Tokyu (4280m)
Par les chemins de traverses, cette nouvelle partie vous éloigne du fond de vallée. D’abord en remontant les grandes pentes cultivées puis dans une vallée protégées, vous gagnez à nouveau un peu d’altitude. A la tombée de la nuit ; il est possible d’observer les bharals qui viennent boire. Les males portent de larges cornes aussi grosses que celles de bouquetins, alors que celles des femelles sont beaucoup plus petites. Le pelage d’été est assez court. La caractéristique de ces caprins outre leur habitat d’altitude est la couleur de leur pattes, noires sur la partie inférieure avec des traits blancs au niveau des articulations.
Plus haut, c’est en balcon avec des vues dominantes sur cette portion du haut Dolpo que vous marchez. Ces paysages arides du haut Dolpo préfigurent déjà un peu le plateau tibétain.
Désert d’altitude, vous traverserez peut-être encore un ou deux alpages mais la saison touche à sa fin, le froid commence à mordre et les tentes des nomades sont en train d’être pliées.
Les gypaètes après une période de vulnérabilité sont à nouveau très présents, vous pourrez en observer dans cette région.
La longue vallée vous fait retourner au sud, en direction de l’Himalaya.
Vous profitez pleinement de la large vallée qui descend sur Dho Tarap, le chef-lieu du Dolpo. Vous traversez là de généreuses zone d’alpage jusqu’au village de Tokyu. Un des lieux de tournage de l’émission « Rendez-vous en terre inconnue ». Lorsqu’on parle avec les villageois de leur séjour hivernal à Kathmandu, ils disent qu’ils vont au Népal. Bref, la capitale est bien loin.
Pour plus de détail sur notre nouvelle itinéraire, contactez nous.
Marche : de 4 à 8 heures
Jours 20 à 26. Tokyu à Niwar phedi (environ 5000m)
A Tokyu, le petit monastère est celui du Lama principal de la vallée de Dho Tarap, le lama le plus important du Dolpo. Un portrait télévisuel a été présenté sur une chaîne française de ce jeune lama. Il vit en Inde et vient quelques fois à Tokyu, son père garde les clés du monastère et vous le fera visiter.
La journée de marche commence par une descente agréable de la vallée de Dho Tarap. Dho est le village principal du Dolpo. Situé à plus de 4000m, la vie y est très rude en hiver, mais ces dernières années la Yarsa Gompa modifie l’économie et même le mode de vie des habitants de Dho Tarap. Le village se remplit à la saison de la cueillette de milliers de personnes venues récolter le fameux champignon. L’été 2014 a révélé de fortes tensions entre les habitants, les cueilleurs de l’extérieur et la police. Pour les Dho Pa, cette manne leur permet de construire de nouvelles maisons et d’acheter des produits chinois en échange de la précieuse Yarsa Gompa.
L’école de Dho est le fruit de nombreuses années d’engagement d’une association française, Action Dolpo, qui a développé cette école avec l’implication du village et la participation du gouvernement. Si elle est ouverte lors de votre passage, vous pourrez voir l’organisation et voir le bâtiment bioclimatique et la serre qui a été demandée ensuite par tous les habitants de Dho pour un véritable changement du quotidien en hiver. En effet, les nombreuses serres que vous pouvez voir sont utilisées l’hiver comme lieu d’habitation, permettant d’économiser les bouses de yaks qui servent à amender la terre.
Sorti de Dho, vous prenez une large vallée à l’Est.
L’acclimatation et le passage des trois précédents cols seront vos meilleurs atouts pour gravir le nouveau col avec la vue sur le massif du Dhaulagiri. Le relief est plus doux mais aussi complétement désertique. En y prenant garde, des troupeaux de Yaks, tâches noires sur la montagne pelée, sont visibles sur les pentes. La vallée vous plonge dans ces grands espaces où vous posez le camp avant.
Vous entamez une longue descente de vallée pour rejoindre un village du bout du monde au pied des géants du massif du Dhaulagiri. C’est un vieux village, on le comprend rapidement en visitant l’isolement et la ruralité du lieu. Son exposition sur les pentes sud offre quelques bonnes parcelles. Village du bout du Dolpo qui nous parait loin de tout mais qui pour les villageois n’est qu’à deux jours de Jomsom, il en faudra le double à notre caravane !!! Plus tard, c’est en remontant une vallée perdue que vous irez à votre point le plus haut du trek Dolpo à 5700m avant de rejoindre une intersections de cols, gigantesque plateau suspendu.
Pour plus de détail sur notre nouvelle itinéraire, contactez nous.
Marche : 5 à 7 heures
Jour 27 et 28. Niwar phedi à Jomsom
Trek, trek, trek etc. La journée est longue même si vous êtes maintenant tous parfaitement acclimatés et que le camp précédent a mieux équilibré les étapes. Les premiers rayons du soleil sont particulièrement appréciés ce matin. Un peu plus haut toujours des yaks qui semblent chercher la fraîcheur…
L’approche du Golchan La se fait par un premier col, le Niwar La, qui est très large et ne sera pour vous que le début de la rampe pour monter au Golchan La.
Face à vous au sud, la Hidden valley qui descend du camp du camp de base du Tukuche, une des étapes du tour du Dhaulagiri. Le passage du Golchan La marque aussi votre arrivée au Mustang et le retour en Himalaya et aux reliefs plus accidentés, une réalité que l’on comprend dès la descente du col. Le sentier plonge littéralement avant de se redresser pour un autre col et à nouveau une descente très très raide dans du schiste. Malgré l’acclimatation, l’importance des dénivelés et le terrain en font votre grosse journée du trek. Cette journée marque notre sortie du Dolpo, du moins du Dolpo géographique.
La traversée Dolpo Mustang touche à sa fin. En passant par le village de Dhagarjung, vous montez au dernier col du trek qui offre aussi un panorama un peu plus bas mais également exceptionnel sur l’Annapurna et dans votre dos le Mustang qu’il va falloir définitivement quitter. Jomsom en bas sent déjà la modernisation, à commencer par le relais téléphonique et les camions que l’on voit circuler dans le lit de la kali gandaki. Le sentier plonge littéralement, alors après un si long trek on peut aussi opter par une version plus tranquille pour les genoux en par la vallée et éventuellement faire deux groupes.
Marche : 5 à 7 heures
Jour 29. Vol Jomsom – Pokhara puis Pokhara – Kathmandu
Le trek est bien terminé et Jomsom est déjà un avant-goût de la vie urbaine. Le retour en avion à la capitale népalaise est moins contraignant dans la mesure où la piste peut toujours constituer une solution de repli en cas d’annulation du vol entre Jomsom et Pokhara. Le vol entre Pokhara et Kathmandu étant lui moins conditionné par la météo. Entre Jomsom et Pokhara, vous volez entre deux sommets de plus de 8000m, l’Annapurna et le Dhaulagiri, un vol mémorable. Nuit à l’hôtel à Kathmandu.
Jour 30. Journée libre à Kathmandu
Les sentiers de trek, les yaks, les stupas et leurs drapeaux à prière sont loin déjà mais bien présent dans notre mémoire. Arrivé à Kathmandu on semble déjà dans un autre monde, un autre pays. Pourtant, bien au Népal mais le rythme est déjà tellement différent, alors entre le trek et la maison, Kathmandu est un sas d’acclimatation à la vie moderne.