ASCENSION DU lobuche PEAK

Ascension du Lobuche Peak – Approche technique de l’Himalaya

POINTS FORTS DE L’ASCENSION DU LOBUCHE PEAK :

  • Une acclimatation progressive maillon essentiel de votre réussite pour le sommet
  • L’ascension d’un 6000m technique et esthétique
  • Une vue spectaculaire sur l’Everest et les sommets du Khumbu        
  • Renjo Pass, Gokyo Ri, Cho La et Kala Pattar les bonus qui viendront couronner votre ascension

NIVEAU

PÉRIODE

CONFORT

Trek en lodge au Népal

Groupe limité à 9 personnes

Hors vol international

Notre enthousiasme pour votre ascension du Lobuche peak 

Le Lobuche peak se distingue des autres sommets de 6000m par sa difficulté plus prononcée. En plus de l’altitude, le Lobuche nécessite d’être familier de pentes prononcées jusqu’à 45°. Il est aussi un point de vue spectaculaire sur le sommet de l’Everest et la barrière du Nupste. Cette caractéristique technique en fait également un sommet moins fréquenté que les Island peak et Mera peak.

Notre choix de trek d’approche se porte sur le passage par le Renjo Pass et le Cho La afin d‘arriver avec une acclimatation optimale. Second choix, de notre expérience, l’ascension du kala Pattar reste un point de vue majeur de l’Everest et l’ascension du Lobuche peak ne le remplace pas vraiment. Aussi, à une paire de jours de ce point de vue mystique, ce serait dommage de s’en priver.

    ITINÉRAIRE DE VOTRE ASCENSION DU LOBUCHE PEAK

Jour 1. Départ pour l’ascension du Lobuche peak

Jour 2. Arrivée à Kathmandu et transfert à l’hôtel

Nous vous attendons à l’aéroport pour aller à l’hôtel et faire le briefing. Le guide de haute montagne vérifie votre matériel. Encore un peu d’attention de votre part pour les explications sur la vie au Népal, le trek d’approche, l’ascension et les formalités.

 

Jour 3. De Kathmandu à Ramechap et vol Lukla puis Phakding (2850m)

Depuis quelques années maintenant, il faut se rendre à un aéroport à environ 4 heures de routes. Les inondations de 2024 ont rallongé cet accès d’environ 2 heures. Aussi, nous chercherons la meilleure solution en fonction de l’évolution des travaux. Soit un départ dans la nuit, soit un départ la veille. Le vol entre Ramechap et Lukla est un vol à vue donc dépendant des conditions météo. Les horaires de vol sont également rarement pour ne pas dire jamais respectées. Nous suivons toujours de près ce vol pour trouver le moment venu la meilleure solution et gérer les incertitudes toujours pénibles. Si le vol est annulé, nous reportons le vol au lendemain ou vous cherchons une alternative par hélicoptère si le surcoût n’est pas trop élevé.

Arrivé à Lukla, nous débutons le trek d’approche par la vallée étroite de Namche.

Marche : 4 heures, +200m/-200m

 

Jour 4. Phakding à Namche Bazar (3450m)

Le trek d’approche commence vraiment aujourd’hui notamment par une montée prononcée sous le village de Namche Bazar. La lenteur est de mise pour se donner toutes les chances de réussite du Lobuche preak.

Marche : 4 heures, +700m/-100m

 

Jour 5. Journée d’acclimatation

Journée d’acclimatation à Namche ou au village de Khumjung. Selon la forme de chacun nous passons la journée au repos ou prenons le chemin de Khumjung, un beau village dominé par l’Ama Dablam.

Jour 6. Namche Bazar à Thame (3800m)

Nous prenons la direction de la vallée du Nangpa La, un col frontière avec le Tibet tout proche. Une journée tout en douceur pour plonger tout en douceur notre organisme dans l’air à l’oxygène rare.

Marche : 4 heures, +420m/-60m

 

Jour 7. Journée d’acclimatation

Cette journée d’acclimatation nous permet de construire un capital de globules rouges qui constitueront la base de notre réussite pour le Lobuche peak. L’occasion aussi de visiter le monastère de Thame, lové dans le rocher.

Marche : 4 heures, +450m/-450m

 

Jour 8. Thame à Langden (4450m)

Un peu plus avant, le trek d’approche nous amène au pied du fameux Renjo pass dans la vallée du Nangpa La réputée pour ses températures polaires.

Marche : 6 heures, +650m

 

Jour 9. Langden au Renjo pass (5350m) et Gokyo (4750m)

Aujourd’hui, nous partons pour notre premier passage au-dessus des 5000m. La lenteur reste de mise et la récompense au col sera notre premier point de vue sur l’Everest et ses satellites. Le chemin monte à travers des blocs. Au col, le vent essaime les prières des drapeaux multicolores et l’émotion est forte dans cet univers minéral. Descente vers le lac Gokyo pour un repos bien mérité.

Marche : 7 à 8 heures, +950m/-600m

 

Jour 10. Gokyo à Tagnag (4700m)

Pour parfaire notre acclimatation, une grimpette matinale au Gokyo peak. On peut aussi rester tranquillement au lodge et se reposer pour en garder sous le pied le jour de l’ascension du Lobuche peak.

Marche : 2 heures, +150m/-200m pour Tagnag

 

Jour 11. Tagnag au camp de base du Lobuche (4800 m) en passant par le Cho La (5400m)

Nous commençons la progression en longeant la moraine avant de la traversée pour rejoindre le pied du Cho La. La montée dans les rochers ne présente pas de grande difficulté. La descente en revanche requiert une paire de crampons dans la première partie. Au Cho La, nous découvrons le Lobuche peak, bien planté dans ce décor de géants.

Nous passons le hameau de Dzongla pour s’installer au camp de base dominé par la Lobuche peak.

Marche : 7 heures, +700m/-600m

 

Jour 12. Camp de base du Lobuche peak au high camp (5200 m)

C’est une demi-journée, ce que l’on appelle dans le jargon des treks et expéditions un « lunch camp ». Nous approchons par un sentier puis dans le rocher des pentes enneigées du Lobuche peak.

Marche : 2 heures, +400m

 

Jour 13. Ascension du Lobuche peak, Lobuche Est (6100m)

Selon les sources, les altitudes varient pour le Lobuche Est, ce sera l’occasion d’aller vérifier de combien le Lobuche dépasse vraiment les fameux 6000m. Pour cela, après des pentes en rochers avec une section presque verticale qui équipée de corde fixe, vous accédez au glacier. Les pentes sont prononcées sur certaines sections, jusqu’à 45° qui relève la difficulté du Lobuche par rapport au Mera peak par exemple. L’ascension du Lobuche requiert donc un bagage technique minimum. Par ailleurs ces dernières années, les pentes sont souvent marquées de pénitents plus en plus prononcés. L’arête du Lobuche est effilé, le panorama époustouflant.

Descente par la même voie vers le camp de base.

Marche : 7 heures, +900m/-1300m

 

Jour 14. Journée de sécurité

Partir sur un tel projet sans journée de sécurité n’aurait pas grand sens, entre les aléas des vols domestiques et ceux de ma météo, cette journée nous permet de garder un peu de marge.

Jour 15. Camp de base du Lobuche à Gorak Shep (5150 m)

Cerise sur l’expédition du Lobuche, nous partons voir l’Everest de plus près en direction du Kala Pattar avec cette journée courte.

Marche : 5 heures, +400m/-50m

 

Jour 16. Gorak Shep au Kala Pattar et descente à Lobuche (4900m)

Après l’ascension du Lobuche, la montée au Kala Pattar fait figure de promenade. D’ici, l’Everest est impressionnant, massif. A la descente du Kala Pattar c’est aussi une autre image qui prend d’un seul coup plus de sens, la face nord du Lobuche Est où nous étions il y a trois jours.

Marche : 7 heures, +450m/-700m

 

Jour 17. Lobuche à Tengboche (3850m)

Pour terminer cette parenthèse de vie en haute altitude, nous descendons au principal monastère de la région du Khumbu, le monastère de Tengboche. On comprend aisément l’inspiration divine tant le paysage nous dépasse…

Marche : 5 heures, +300m/-1350m

 

Jour 18. Tengboche à Namche (3400m)

C’est la journée des adieux pour cette région mythique de l’Everest, nous descendons dans la vallée de la Dhud koshi aux eaux laiteuses qui viennent des nombreux glaciers du Khumbu dont celui du Lobuche peak.

Marche : 5 heures, +400m/-850m

 

Jour 19. Namche à Lukla (2800m)

Retour à la végétation et au ronron d’une vie humaine plus dense. Le contraste est fort avec les jours passé en haute altitude.

Marche : 6 heures, +300m/-900m

 

Jour 20. Lukla à Kathmandu

Avec des images de sommets dans la tête, on retrouve le fameux altiport et ses incertitude météorologique pour le vol retour. Pas très agréable mais incontournable. Depuis peu, la piste avance en direction de Lukla et peu constituer une alternative si nous avons assez de temps car elle est plus longue.

Jour 21. Journée de sécurité

Indispensable en raison du vol de Lukla, une journée de sécurité est le minimum pour ne pas rater votre vol international si la météo est capricieuse. Idéalement, nous vous conseillons d’avoir deux journées pleines de sécurité.
Lorsque la météo est au rendez-vous, vous pouvez visiter Kathmandu.

Jour 22. Départ du Népal

Départ de Kathmandu.

Jour 23. Arrivée en France

Compensation carbone Népal

Compensation carbone de ascension du Mera peak